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Locations de vacances: la croissance malgré les restrictions | ||
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Si cela fait (presque) belle lurette que les hôteliers et les maisons d’hôtes ont enterré la hache de guerre, les deux rivaux d’hier sont souvent liés, depuis ces dernières années, pour mener la fronde contre leurs rivaux des temps modernes; en l’occurrence, les hébergeurs « non marchands » que sont les locations de courte durée. Les hébergeurs « marchands » se sont trouvés des alliés objectifs en la personne des citoyens qui mettent de plus en plus de mal à trouver des logements « permanents » sur quasiement toutes les zones touristiques mais aussi, par rebond, avec les gouvernements locaux et nationaux pour qui la prolifération des locations courte-durée est souvent synonyme de nuisances multiples, de marchés souterrains, de taxes parafiscales éludées, et j’en passe. Bref, jamais comme ces dernières années, le parc des « locations courte durée » n’a concentré autant d’attention de la part de ses rivaux économiques et des élus de tous bords. Il faut dire que le côté « champignonesque » de leur croissance est inédit dans l’histoire du tourisme puisque leur émergence est étroitement liée à celle du web, des réservations en ligne et, pour terminer, à la suprématie des OTAs. Leur avenir proche est donc étroitement lié à ces nouveaux acteurs et à leur stratégie de croissance … qui repose, pour beaucoup, sur les locations de courte durée elles-mêmes. C’est ce qu’explique une récente étude que nous verrons plus loin. En attendant, comme le démontre le graphique ci-dessous, en Millards d’euros, le marché des « locations de courte durée » ne semble pas remettre en question ses courbes de croissance établies à près de 6,2% par an (jusqu’à au moins 2030), selon les experts de Research & Markets (juillet 2024) ! De quoi donc attirer de nouveaux « chercheurs d’or » dans les filons de la location courte-durée et ce, en dépit des contraintes croissantes qui pèsent sur cette activité. Quand les néo-propriétaires remplacent les « historiques »En effet, si les serrements de vis auxquels nous assitons dans différents pays (dont la France) sont réels, il n’est pas dit qu’ils finissent pas freiner efficacement la folle croissance de ce marché (6,2% par an pour les locations contre 3,5% de croissance pour les autres « industries » du tourisme). Et pour cause ! Le marché et ses chiffres astronomiques porte bien les signes d’un « business doré » et attire, par conséquent, un flot continu de nouveaux entrepreneurs. En clair, si le marché va probablement voir disparaître (pour cause d’allergies aux contraintes réglementaires et fiscales) de nombreux propriétaires qui vont retirer leurs biens des listings de Airbnb, Vrbo ou encore Booking, il devrait, dans un sens inverse, attirer une masse presque identique de neo-propriétaires attirés par cet immense business, quitte à en épouser ces mêmes contraintes. De là, à en faire des atouts, rien n’est cependant moins sûr … Car les autorités ne devraient pas en rester là ! De nombreux gouvernements devraient même suivre le mouvement anti « courte-durée » partout en Europe où de nombreuses collectivités agissent déjà pour accentuer les effets restrictifs en éditant de nouveaux arrêtés locaux. Cependant, la « démographie » des propriétaires de « courte-durée » bouge aussi très fort et devrait créer de la place aux nouveaux arrivants: dans de nombreux réseaux historiques de locations de vacances, les propriétaires « lâchent l’affaire » et quittent les réseaux soit pour prendre leur retraite, soit parce qu’ils sont lassés par les empilements de contraintes, soit parce leur revenu devient de plus en plus difficile à constituer, que la marge est de plus en plus réduite … ou qu’ils ont vendu leur bien à un « néo-propriétaire-qui-se- |
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Fiscalité des meublés: le projet de budget a parlé !
Si de nombreuses propositions (suivies d’un couac entre les parlementaires, l’ancien gouvernement et l’administration fiscale) avaient commencé à bien pimenter l’avenir des locations saisonnières, la dissolution et la nouvelle politique de rigueur budgétaire ont fait prendre une tangente inédite à ce dossier quasi à l’état de « serpent de mer »: désormais, le tour de vis fiscal risque aussi de toucher aux plus-values immobilières …
Depuis des mois (voir plus bas), que nous suivons ensemble ce « feuilleton fiscal », nous nous attendions à de profonds changements, mais pas à ceux qui ont été annoncés cette semaine passée. Désormais, en effet, outre le fait que la révision de l’abattement fiscal sur les revenus locatifs n’est pas encore remis en cause, la plus-value des biens immobiliers jusque là loués en meublés sera plus taxée qu’auparavant.
Selon les dernières propositions de l’actuel gouvernement, dans le cadre des débats budgétaires 2025, en cas de revente d’un bien immobilier jusque là exploité en location meublé, les amortissements de ce bien seront intégrés dans le calcul de la plus-value; ce qui aura pour conséquence d’alourdir le montant de la plus-value réalisée et donc de l’impôt à payer.
Maîtrisez les subtilités du "revenue management"
Le terme de « revenue management » a toujours eu, à la fois, un côté barbare et magique … On sait que cette discipline fait des prouesses en matière de rentabilité d’une entreprise touristique, mais on ignore souvent, d’une part, si elle est accessible à toutes les entreprises touristiques (on parle de taille …) et, d’autre part, si les techniques sur lesquelles elle repose sont vraiment à la portée de tous. Si le sujet vous intéresse, le nouveau parcours de formation (en ligne et gratuit) que lance elloha aujourd’hui devrait largement vous combler !
Le « revenue management » ou « gestion des revenus » est une discipline propre (exclusive même !) à l’univers du tourisme ! Inventée dans les années 60 par des cadres ingénieux de British Airways, elle a permis à l’industrie aérienne de remporter ses premiers – et durables ! – succès financiers. Pour l’ancien patron d’American Airlines qui a, par la suite, importé ce concept Outre-Atlantique (et les millions de dollars de bénéfices qu’elle l’a aidé à générer), le « revenue management » « a certainement été la technique la plus importante développée pour l’industrie aérienne durant ces trente dernières années ! » (il disait cela dans les années 80).
Et pour cause, ces techniques ont eu tellement de succès que les grandes compagnies hôtelières ont eu vite fait de les adopter; à commencer par celle de Bill Marriott, du groupe eponyme, qui a également fêté ses premières dizaines de millions de dollars grâce à sa transposition dans l’univers des chambres et des nuitées. Le groupe, qui comprenait 100.000 chambres lors de la mise en place du « revenue management », en compte désormais 1,6 millions aujourd’hui !
Pour Bill Marriott, le « revenue management » est l’art de vendre la bonne chambre, au bon prix, au bon moment, au bon client. Mais le concept s’applique aussi aux entreprises du loisir et des expériences touristiques !
Le chaînon manquant de votre trajectoire vers le succès financier
Pour de nombreux « joueurs » de l’industrie touristique, la mise en oeuvre d’une stratégie de gestion des revenus est aussi vitale qu’un bon site internet ou des avis 5 étoiles sur Google. Et ils ont raison ! À l’heure où le digital aiguise les concurrences et change les rapports de force avec les distributeurs, sans stratégie de « revenue management », on nage en plein brouillard et l’on se prive de ressources majeures pour réagir au quart de tour aux aléas du marché !
« Notre ADN est de donner toutes les clés aux entreprises du tourisme (à commencer par les plus petites) pour se battre sur un marché de plus en plus concurrentiel et un environnement digital de plus en plus sophistiqué, souligne Bruno Delmas, le fondateur et CEO de elloha. C’est pourquoi nous avons bâti un parcours complet d’apprentissage des règles de base du « revenue management. L’idée est que chacun puisse en comprendre rapidement les rouages et bâtir, pas-à-pas, une stratégie qui marche et qui rapporte au niveau de son entreprise ! »
Et en plus, c’est le moment ! Car une bonne stratégie de « revenue management » se construit toujours au mitan de l’automne, en vue de l’année à venir. D’où l’importance d’en comprendre tous les rouages bien en amont de cette période stratégique pour votre entreprise !
Une formation gratuite si vous vous inscrivez maintenant !
Si vous souhaitez profiter de cette opportunité de (mieux) maîtriser les arcanes de la gestion des revenus, inscrivez-vous dès maintenant pour bénéficier d’un parcours entièrement gratuit:
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